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 [BG] Juliana Amnell

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AuteurMessage
malechou




Nombre de messages : 14
Localisation : Pau
Date d'inscription : 03/11/2009

[BG] Juliana Amnell Empty
MessageSujet: [BG] Juliana Amnell   [BG] Juliana Amnell EmptyMer 18 Nov - 15:26

[hrp] Certains passage peuvent heurter la sensibilité de certain.[/hrp]


Nom du compte joueur forum : Malechou
Nom du compte joueur module : Malechou

Nom du perso : Juliana Amnel
Race : Humaine
Age : A peine la vingtaine

Alignement : Loyal mauvais
Religion : Loviatar

Classe: roublard/ensorceleur
Caractéristiques:
FOR:11
DEX:14
CON:14
INT:12
SAG:9
CHA:16







"Je suis maudite.

Que puis-je être d'autre? Je n'ai plus rien à quoi m'attacher, plus d'amis, plus d'amour à offrir, plus de parent, plus de famille, rien. Le sort de ce monde, ou celui qui en tire les ficelles, caché au delà de notre perception, semble prendre un plaisir mesquin dans ma chute.

Je hais tout.

Pourquoi aimerais-je alors qu'on me refuse cela. Je hais ce qui représente ce que je n'ai pu être. Je hais ce que l'on m'as enlevé. Je hais ce que je n'ai pu avoir. Les amis, les parents, la famille et surtout, l'amour.

Mais....

Je me ment à moi même. Je ne suis pas cela, puisque je ne l'ai jamais été. J'aurais aimé être cela. J'aurais eu une raison pour être ce que je suis.

Je n'ai aucune raison de haïr. Je suis la haine.

Je ne suis pas maudite. Je suis le malheur en personne.

Ma seule raison d'être étant ma passion pour ta souffrance."

C'est de cette manière que j'aime me décrire face à mes nouveaux « petits chiens ». Dans un premier temps, je lis sur leur visage un soupçon de pitié, mal grès ce qu'ils ont déjà subis, et ensuite, je perçois ce brin d'horreur, ils comprennent enfin qu'ils m'appartiennent de tout leur être. Ça a le don de m'exciter au plus haut point.

----------------------------------------------

La silhouette féminine était assise sur un petit tabouret rustique. Il n'arrivait plus à distinguer les détails. Il faisait trop sombre et la sueur mêlée à son sang venait voiler ses yeux dans un picotement incessant. La douleur aurait pu être surmontable s'il n'avait pas l'impression que les muscles de ses bras se déchiraient. Il essayait, mal grès la fatigue, de stabiliser sa position avec ses orteils qui frôlaient à peine le sol incrusté de sang séché. Il devait se rendre à l'évidence, il était pendu comme un cochon, il ne pouvait rien faire et était à la merci de cette femme.
Il aurait aimé, rien qu'une seconde, s'allonger par terre, fermer les yeux, pleurer toutes les larmes de son corps, s'endormir. Oui, il avait sommeil, depuis combien de temps n'avait-il pas dormis ? Un jours? Une semaine ? Il avait l'impression de ne pas avoir dormis depuis des années! Il avait cessé de songer au temps lui même dès les premières minutes de torture, se concentrant uniquement sur sa capacité à encaisser qui elle même ne dura qu'une dizaine de minute tout au plus.
Il gémit finalement, ses yeux se noyèrent de larmes.

La silhouette féminine sorti de sa torpeur, décroisant les bras. Il la vit se baisser et saisir le bas de sa robe pour le remonter au niveau de sa taille découvrant ainsi ses jambes. Une de ses jambes semblait recouverte de sang. Ce devait être celui de l'homme, mais comment avait-il pu pénétrer le tissu de la robe? Il plissa légèrement les yeux, sa sueur venant raviver la douleur dans ceux-ci. Il vit la femme resserrer ce qui semblait être un silice . Ce n'était donc pas son sang.

Elle grimaça quelque peu, la douleur étant toujours aussi soutenable mal grès les pointes de fer qui déchiraient ses chairs. Elle redescendit sa robe dans un geste lent et soigneux, passant sa main sur le tissu pour éviter que celui-ci ne se froisse. Elle se releva. A sa ceinture pendait un seul gant, celui-ci était fait de tissu banal mais recouvert d'une protection métallique sur le plat de la main ainsi que toutes les phalanges. Si l'on tendait l'oreille on aurais pu croire que le gant crépitait, des petits son s'en échappant de temps à autres. Le visage de l'homme blêmit à la vue du gant, et il sembla, la seconde d'après, perdre tout espoir au fond de ses yeux quand il la vit enfiler son gant d'une manière nonchalante. Elle s'avança et s'exprima d'une voix sereine.

- Le dressage reprend « petit chien », j'espère que tu as conscience de la clémence dont je fait preuve en t'ayant laissé ce repos de quelques minutes.

L'homme ne put retenir ses larmes, il en baissa la tête et lâcha dans un souffle « Oui, merci Maitresse ».
Les minutes d'après ne se fit entendre que les cris de l'homme au travers des long corridors sombre du château.

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Les ombres, engeance des caprices de la flamme qui léchait la mèche du cierge, envahissaient chaque parcelle de la salle ou se trouvait la jeune femme. La pièce était sobre, aucune fioriture, il n'y avait là que le nécessaire pour vivre, un lit, une commode pour ses affaires personnelles et cet autel, qui n'était en fait qu'une simple table de nuit recouverte de cire et de mèche d'ancienne bougies consumées. Sur un des murs de la pièce se trouvait une fenêtre. Par delà le verre, l'ombre régnait sur les alentours du château, la lune était reine du ciel, rien ne pouvait la détrôner, a part l'aube qui annonçait le prochain règne du soleil.

Elle était agenouillée devant un cierge qui se consumait, elle attendait, silencieuse et nue. Sa poitrine se relevait au grès de sa respiration, entamant de lente vague d'avant en arrière. Son poing était fermé sur le manche d'un fouet barbelé. Une seule queue de cuir parsemé de lame aussi fine qu'un parchemin. Son dos semblait être recouvert des stigmates de l'utilisation intensive de cet instrument de pénitence.

Lentement, elle s'abaissa jusqu'à ce que son front vienne toucher le sol, puis, d'un geste soudain, elle laissa libre cours à ses pulsions le cuir du fouet rongeant ses chairs. Plusieurs entaille apparurent. On les distinguaient non pas par leur taille, mais par le sang qui en coulait. Chacune faisait bien quatre centimètre de long. Religieusement, la jeune femme se mit à psalmodier ses prières.

- Loviatar me guide! Un coup de fouet retentit à nouveau, venant maintenant rouvrir certaines plaies qui avaient commencé à cicatriser. Loviatar me protège! Un autre coup se fit entendre. Face à la douleur je m'épanouis. Un autre. Dans la douleur je me réfugie. Encore un. Devant sa sagesse je m'incline. Celui-ci vint cogner douloureusement une de ses omoplates, ratant de la fêler. J'existe pour la servir, ma vie lui appartient.

Sa main resta appuyée contre le sol, haletante, le sang ruisselait à présent le long de sa peau. Une gouttelette partie de son omoplate à vive allure, laissant une trainée rouge sang sur la peau blanche. Elle se faufila parmi d'autres plaies pour descendre vers son buste. Elle gravit avec aisance un de ses seins pour rencontrer un de ses téton et se laissa choir jusqu'à ce que la gravité eu raison d'elle et vint s'aplatir sur le sol ou d'autre s'étaient déjà écrasé pour former une tache.

Elle relâcha les muscles de son corps et se coucha sur le dos. Ses cheveux collaient sur sa peau suintante de sueur. Elle ferma les yeux, un sourire sur les lèvres et se laissa sombrer dans la rêverie.

-------------------------------------------

La porte claqua, ils ne leur avaient pas ouvert aux premières sommation. Les hommes entrèrent dans un boucan infernal. Ils investirent sans problème la pièce unique qui composait la demeure familiale. Chaque homme agit comme il le devait, la méthode étant infaillible, c'était comme une machine de guerre lancée à l'intérieur même de la maison. Trois des soldats se figèrent devant chacun des occupants. Pointant de leurs épées Père, mère et fille. Cette dernière devait à peine être âgée de huit ans et ne représentait aucune menace. Pendant ce temps, cinq autres soldats encerclèrent tout ce beau monde. La fille était accroché à la robe de sa mère, pleurant toutes les larmes de son corps. La mère se voulait réconfortante caressant la tête de la gamine mais ne semblait elle même pas très convaincue.

Un garde s'exprima de vive voix, de toute sa simplicité et grâce verbale
- Lâche la salope! Ne touche plus la gamine!

La mère se pinça les lèvres, retenant ses larmes et s'écarta de la jeune fille, qui semblait s'accrocher à sa mère comme une bouée à la mer. Les larmes furent plus dur à contenir quand la gamine se mit à gémir. Le geste fut difficile, mais elle la repoussa d'une main craignant pour sa vie, et surtout celle de sa fille.

C'est à ce moment qu'un homme, de forte corpulence, vêtu de riche habits colorés entra dans la pièce. Cet accoutrement, avait beau valoir des fortune, cet homme ne ressemblait qu'à un gros porc pensa la mère. Elle n'avait qu'une idée en tête, voir sa tête sur un pique, lui trancher la gorge! Avec les dent ou une lame, n'importe quoi mais elle ne se laisserais pas prendre sa fille. La réalité était tout autre puisque ses jambes tremblotaient inlassablement et surtout, la pointe de cette épée était toujours collée sur la peau de sa gorge.

Le noble toisa l'assemblée, puis, encra son regard dans celui de la mère, un mince sourire venant s'afficher sur son visage. Il plongea une main dans un des plis de sa tunique et en sorti un parchemin. Il le déroula méthodiquement, le parcouru du regard puis se racla la gorge.

- Par ordre du roi Cléodar III, selon le decret n° 427, par approbation du conseil et du sectateur lui même. L'ordre réquisitionne cette jeune fille, ainsi que toute sa famille, pour diverse raison qui vous seront cités plus tard. Dans le but de parfaire son éducation et l'initier aux rites de l'ordre. Il enroula son parchemin. Ah, j'oubliais, je précise que tout refus sera ignoré. Il s'esclaffa devant sa blague médiocre puis s'en retourna de là où il était venu.

Un des gardes saisit la jeune fille sans ménagement, empoignant ses bras douloureusement. Elle n'avait cesse de gémir. Le garde lui aurait bien tranché la gorge pour qu'elle cesse de chialer se dit-il. Mais il en était autrement, l'ordre la voulait vivante et rien n'irai à l'encontre de l'ordre, oui, il ne voulait pas passer le reste de ses jours torturé par ces monstres. Cette idée remua dans sa tête, elle ricocha sur son subconscient, sur ce qui lui restait d'humanité se demandant s'il n'y était pas pour quelque chose. Ce sentiment de culpabilité remonta du plus profond de ses entrailles. Oui! Il était le bras qui engendrait ces monstres de l'ordre! Il était horrible! Il arrachait toutes ces filles à leur famille pour les leur livrer! Il avait envie de vomir, des vertiges le prirent soudainement. Il secoua la tête et s'exprima de vive voix.

- Ferme là sale enquiquineuse! Il lui flanqua une gifle qui ne manqua pas de marquer la peau blanche de la petite fille.

La fille fut emmenée vers le château, ses parents, quant à eux, elle ne savait pas vers où ils étaient emmenés, elle espérait pourtant au plus profond de son cœur les revoir, au moins une fois, pour leur dire qu'elle les aimait plus que tout.

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Dans les terres d'Amn, non loin de la grande Athkatla, existait le fief de Cléodar III eme du nom. Il était constitué du donjon, où le roi disposait de ses appartements et des terres environnantes. Au pied du donjon se trouvait le village de Suméril. Ce dernier était un village paisible et verdoyant, il semblait bon y vivre. Ils avaient leur forgeron, leur boulanger, leur moulin à eau, enfin tout ce qu'il fallait à un village pour prospérer. Le domaine du roi était grand et s'étendait à des lieux à la ronde si bien que beaucoup des villageois n'avaient jamais quitté le domaine royal. Les marchands venaient à eux, la grande Athkatla se trouvant seulement à quelques jours à cheval de l'endroit.
Le roi, quand on leur posait la question, était bon et généreux, il leur laissait ce dont ils avaient besoins pour vivre, les impôts n'étaient pas trop conséquent et son besoin en récolte était suffisant. Il faut dire qu'une des richesses du fief était bien son agriculture prospère.
Il y avait bien cet ordre, qui semblait régner en accord avec le roi, mais tant qu'il ne tapait à leur porte, les villageois semblaient peu s'en soucier. Et de toute manière ,disaient-ils , la réquisition n'intervenait seulement que tous les 5 ans et parfois elle n'avait même pas lieu.

Le donjon trônait au sommet d'une colline, Il était gracieux, digne des plus grand architecte. Sa position au niveau militaire en faisait un bastion quasi imprenable et ses féroces soldats étaient toujours là, sur une muraille, devant les grilles ou en patrouille sur les chemins pour rappeler à tous que l'armée du roi était présente. Sur la porte d'entrée du donjon était gravé en lettre de pierre la devise du fief: « Seule la vérité nous illumine ».

Le fief était réputé notamment pour ses sentences juste et équitable. L'ordre avait été créé dans ce but: faire éclater la vérité. Il la faisait éclater au grand jours grâce au travail de ses enfants, enrôlés dès leur plus jeune âge.

Ce bon royaume, dans un souci de justice équitable arrachait de jeune fille innocentes au bras de leur famille et les modelés en honorable inquisitrice en quête de vérité. Qu'y avait-il de plus honorable que la quête de la vérité ? Mal grès les tortures que les jeunes filles subissaient ainsi que leur parents, séparés de leur progéniture, n'étais-ce pas un mal pour un bien ?

Le dressage, le terme qu'utilisait les gens de l'ordre entre eux, consistait en trois étapes simples et ludique qui permettrait aux jeunes filles d'oublier tout sens du bien ou du mal, qui leur permettrai de découvrir la vérité par la simple force de persuasion de ces enfants.
Pendant la première phase, les jeunes filles étaient brisés mentalement et physiquement grâce à l'agiel. Ce dernier était l'instrument de torture par excellence. C'était un gant de simple facture recouvert de métal finement gravés sur le plat de la main et sur chacune des phalanges. Lorsqu'il était porté par un membre de l'ordre « dresseur » ou une inquisitrice, le métal crépitait d'énergie, la douleur s'approchait de celle de l'électricité. Manié avec art et doigté cet instrument était capable de délier toutes les langues ou de faire supplier n'importe quel Homme pour que la douleur cesse.
Une fois brisées pendant de longues années et immiscer aux préceptes de l'ordre, les filles passaient à la seconde étape.
Durant la seconde phase, tandis que la torture physique et mentale continuait plus ardemment, la mère de la jeune fille était châtiée devant cette dernière. Maltraitée et violée chaque jours par son maitre, le « dresseur » comme il se faisait appeler. La vue de ce spectacle horrible était infligés à la jeune enfant, et le maitre y prenait un malin plaisir, usant toujours de son agiel. Une fois la mère décédée, au bout d'une année ou deux selon la volonté de la femme, la troisième étape pouvait commencer.
Durant cette troisième et dernière phase, c'était à la jeune fille de montrer comment elle pouvait dresser une personne. Pour cela elle devait soumettre son père et en faire son propre chien sans volonté. Bien souvent, les jeunes enfant avaient engendrés assez de haine envers le monde et leur maitre pour ne plus se soucier de leur passé. Elles apprenaient les premiers rudiment de l'agiel, qui faisait aussi bien souffrir son porteur que celui qui recevait les coups. Chaque coup, chaque brulure, chaque plaie , chaque souffrance causé par l'agiel était rendu à l'identique à la maitresse. Durant leur apprentissage elles apprenaient à contrôler la douleur, faisant d'elle une alliée plutôt qu'un fardeau, ce qui les rendaient redoutable.
Au terme de leur dressage, une fois jeune femme, elles se débarrassaient de leur maitre et récupéraient leurs agiels afin d'entamer leur carrière d'inquisitrice. Car là était le pouvoir de l'agiel, il ne fonctionnait uniquement que si l'on avait été torturé avec celui-ci.

Une fois inquisitrice, les jeunes femmes étaient dénués de tout sentiment, de tout avis, de toute chose qui pourrait interférer avec la justice de leur royaume. Et ainsi, elles récoltaient les aveux des condamnés, on ne pouvait jamais leur mentir indéfiniment.

C'était le prix qu'avait décidé de payer le roi Cleodar III pour posséder une des justice les plus fiable en Toril.

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Elle se tenait au milieu de la salle sombre. Elle se regardait les mains, les yeux écarquillés, tournant et retournant sa main sur elle même. Comment avait-elle pu faire ça ? Elle leva son regard toujours aussi ébahis vers ce qui restait du détenus. Son corps gisait pendus par les bras, enfin, ce qu'il en restait, des ligaments pensa t-elle. La peau rongée, elle se décollait par endroit laissant entrevoir muscle, veines et os du corps. Ça ressemblait à un jet d'acide mais comment fichtre était-il arrivé ici ? Et sorti de ses doigts qui plus est! Elle retourna cette pensé inlassablement dans sa tête. Elle s'avoua qu'elle était foutrement en colère, mais ce n'était pas la première fois qu'un chien en prenait pour son grade, mais quand même.

Elle secoua la tête chassant ces mauvaises pensé puis, la rage vint consumer son regard, elle s'approcha du reste décrépit du malheureux. Elle lui flanqua la raclé de sa vie, coup de poing, coup de pied. Plus elle frappait fort plus la bouillie, dont était maintenant composé l'homme là où l'acide avait sévit, éclaboussait la jeune femme. S'il aurait pu crier, l'homme se serait arraché le gosier.

Tu me fout dans la merde sale chien! Elle abattait ses poings sur le torse mutilé du cadavre dans un excès de rage incontrôlable. Dans la merde! Elle lâcha un râle de rage pour ponctuer sa phrase.

Elle se stoppa net et vint poser sa tête contre le torse du corps pendant. Exténuée, des larmes commencèrent à perler le long de ses joues. Elle savait très bien ce qui allait advenir d'elle. Il n'avait pas eu le temps de se confesser et l'ordre ne le tolérerai pas. Elle serait châtiée et seul la mort viendrai apaiser les souffrances qu'elle devrai endurer, mais l'ordre veillerai à ce que cela dure des années.
Elle tapa d'un poing rageur sur le torse du cadavre et celui-ci vint s'embraser. Elle se dégagea du corps en faisant un bon en arrière, manquant de trébucher. C'était à ne plus rien comprendre. Maintenant le corps s'embrasait! Elle secoua la tête baissant son regard vers le sol. Ses yeux s'écarquillèrent de plus belle découvrant que sa main elle même était parcourue par des flammes aux reflets bleue. Elle l'agita vivement, son esprit lui conseillais de crier de douleur a cause du feu, mais en réalité elle ne le sentait même pas. Finalement, le feu magique se stoppa de lui même et une seule idée parcouru l'esprit de Juliana. Quitter le château.
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[BG] Juliana Amnell
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