[Barde/guerrier/DDNoir][D-O] Lhoergnarbeth

Citation :: Nom du compte joueur forum : Feydht
Nom du compte joueur module : Bilay_Kayfa
Nom du perso : Lhoergnarbeth
Race : Demi-orque
Sexe : Féminin
Age : 30
Alignement : Chaotique Mauvais
Religion : Panthéon Draconique avec une préférance pour le Dragon Nuit,

Classe(s) et nombre de lvls (prévus) : Barde10/guerrier5/Disciple du Dragon Noir 10
Arme de prédilection/domaines/école de magie : Epée batarde

Langues :
01 : Commun
02 : Chultien [régional]
03 : Orc [Racial]
04 : Draconique [Apprentissage]

Trait de Caractère : Impitoyable

Description physique : La peau noir, des tatouages blancs représentant des dragons parcourant sa peau dans les endroits dépourvus d'écailles reptiliennes de couleurs noirâtres. Des ailes noires dans le dos. De yeux rouge fixe et sournois.

Caractéristiques :
FOR : 18
DEX : 12
CON : 12
INT : 12
SAG : 8
CHA : 12

Elle parait un peu fine là a cause de l'image allongée, in game elle est énorme !

[Barde/guerrier/DDNoir][D-O] Lhoergnarbeth Poelfd040h

I : D'abord surviennent les rêves

Je suis née Lhoergnarbeth en l'an 1365 Année de l’Epée, fille de chef d’une des plus disciplinée et guerrière tribu de mercenaires demi-orcs de la péninsule de chult. Toujours je me suis sentie différente des femmes peuplant le camp, servile et soumises aux caprices du chef, des chamans et des soldats. Toujours je dû me battre et utiliser la violence pour m’imposer, si bien que je me retrouva vite seule et marginale dans ma propres famille.

La péninsule de Chult est une jungle montagneuse abritant les monstres les plus primitifs, d'imposants dinosaures et des marais infestés par les maladies. Moi, Lhoergnarbeth je dû faire preuve de force tout au long de ma vie pour survivre en ce territoire hostile. Le camp des mercenaires était situé dans une grande clairière bordée de plaines marécageuses. Cependant durant plusieurs années, je partait toute la journée dans une caverne non loin du camp, que j’avais découverte pour pouvoir méditer seule, et surtout m’entraîner seule à la magie qui coulais déjà en moi, ainsi qu’à l’épée bâtarde que m’avais offert mon père.

En l'an 1380 Année du Manteau d’Hermine, je chantait la plupart du temps en m’entraînant, je ressentais à mesure de cet exercice que la magie venait de mon chant et qu’elle influençais sur mes performances. Je me rendit compte également que lorsque je chantais de manière sombre et torturée le silence se faisait autour de moi, les être vivant semblais fuir mon chant, le tonnerre semblais grondé plus fort et le temps s’arrêté sur la mélodie maléfique.

Mon père tolérait mes frasques et mon étrangeté mais la menace venait de ses lieutenants et soldats qui jalousais mon assurance et ma liberté. Quelques lunes plus tard, un champ de blé situé non loin du camp se mit à brûler. Tout le monde se réveilla avec horreur, et les plus costauds des demi orcs donnèrent quelques baffes à leurs esclaves gobelins pour qu’ils se donnent cœur et âme à éteindre ce brasier qui commençait à atteindre le camp.

Pendant que tous se démenaient à éteindre le feu, je faisant mine d’être horrifiée mais tout le camp savait cependant que j’étais l’auteur de cet acte malveillant. Une bagarre démarra dans le camp, partagé entre ceux qui me haïssait et ceux qui restais fidèle à mon père. Après des heures de lutte, ils réussirent à éteindre le feu, la moitié du camp était brûlé et la plupart des soldats étaient mort à cause de la querelle…

Les chamans invoquèrent les pouvoirs de la nature en demandant le pourquoi du malheur qui s’était abattu sur eux. La réponse fut immédiate : des runes orcs s’inscrirent autour de moi, et celles-ci disaient : « Elle est le mal, tuez-la, elle ne vous apportera que mort et désolation » et le cercle runique autour de moi s’évapora en un nuage de fumée noirâtre et en jet d’acide. Tous les yeux se rivèrent évidemment sur moi mais ce sont les yeux de mon père qui me donnèrent cette nausée qui ne m’à plus jamais quitté depuis.

Mon père de ne résoudre à me tuer me chassa du camp. Je partit donc vivre seule dans ma caverne, m’entraînant sans relâche à invoqué mes sortilège tout en chantant et en maniant cette lourde épée pour ne plus être gênée par elle lorsque je combattrais.

Je devenais de plus en plus mauvaise, ayant du temps pour moi je parcourais la région en quête de signe, de nature avide de savoirs et d’information il n’y avais que les tribus sauvages de la jungle pour accepter ma présence en m’en apprendre davantage sur le monde en dehors de l’univers fermé du camp de mercenaire.

Encore aujourd’hui je pense que j’aurais dû mourir et que seul l’influence et l’autorité que mon père avait sur les autres demi- orcs m’a sauvé du lynchage. Je faisais à l’époque toujours le même rêve, je me voyais me battre avec les autres orcs de me ma tribu et me promener dans la jungle chultienne, ses marécages que j’ai toujours aimé, lorsque je découvrit un trou à l’ouverture pas plus grosse que celui d’un terrier d’un tapir. Pourtant, c’était l’entrée d’une caverne profonde pleine de labyrinthes.

Chaque nuit le même rêve. Un jour, je pris le risque de retourner au camp pour parler de ce rêve au maître chaman. Il me répondit d’aller au bout de ce rêve et d’accepter l’inévitable. La nuit même le rêve m’emporta au fond du labyrinthe et je découvris un passage secret. Je voulus y entrer mais un dragon noir aux yeux rouges en sortit au même moment. Le dragon ouvrit une large gueule, hurla et crachat un jet d’acide sur moi. Je me réveilla en sursaut cette nuit là et couru réveiller le chaman, qui entreprit de sonder mes rêves grâce aux décoctions étranges qu’il prépare. Tes rêves ne sont peuplés que de dragons et d’accomplissement, me révéla le chaman, toi seul peux comprendre le chemin qui sera tracé devant toi. Ton cœur est libre, trouve le courage de le suivre, et dans ton voyage sur le chemin de la découverte n’oublie pas la fureur au combat de ta tribu, n’oublie pas que c’est en étant profondément enraciné qu’ont est prêt à toute les ouvertures.

Le labyrinthe représente ta vie et le Dragon Noir le bout du chemin. Je me replongeai dans mon rêve, ne ressentant plus aucune peur. Le dragon, étonné, dit alors
« - tu n’as pas peur?
Et je répondis:
- Tu n’es pas réel, ce n’est que mon imagination !».
- Je vais te prouver que j’existe réellement et que je suis vraiment un être que l’on doit craindre et respecter car je suis plein de magie. »

Le dragon devint de plus en plus petit et se jeta sur moi. J’étais comme pétrifiée, ne pouvant plus bouger ni parler, cependant ma bouche et ma gorge étaient comme ouvertes à leur paroxysme, sans que je ne puisse rien contrôler.

Le Dragon Noir s’engouffra dans mon corps, je crus que mes yeux allaient me sortir des orbites tellement ils étaient révulsés. Un moment mon corps fut tendu de douleur, que je ressentit aussi bien que si je me trouvais dans le monde réel, tandis que je fut parcourue de spasme. De fines écailles translucides percent telles des lames de rasoir ma peau noir.
La réalité de mon rêve se dilate et explose en millions d’étincelle verdâtre dans les marécages où je m’étais endormie. Mon hurlement retentit dans la jungle alors que me yeux se transformèrent en deux billes rouges comme des rubis et brillant comme de l’or au soleil de la canopée. Je sus alors que ma vie et le rêve ne formait plus qu'un, que j'était parvenue de l'autre coté du labyrinthe et des murs qui cloisonnais ma conscience et que le Dragon qui sommeillais en moi m'avais fait un présent.

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II : L’éveil Du Sang

Je ne sais d’où me vient ce sang draconien, ni jusqu’où son pouvoir peut avoir emprise sur moi ni comment je peux maîtriser plus avant ses capacités. La seule chose que je sais, c’est que je reconnais le pouvoir des dragons et que je vais m’orienter dans la voie de leurs disciples. Je quittais donc la jungle de chult, vers l’est et le tashalar.

1385 Année de la chute des glands, Je visitais ce royaume marchand avec beaucoup de plaisir. J’éprouvais une envie intense de partager la vie de ces gens, de participer à leurs activités, pour finir leur prendre tout ce qui est à eux et m’enfuir. Tashalar, balayer par les vent depuis les montagnes Hazuk, brassé par les pieds innombrables, il se changeait en poussière, une poussière étouffante qui encrassait les gorges en permanence. Et cette odeur toute imprégnée de souvenirs de la jungle.

Les plus grandes villes du royaume marchand du Tashalar abritent les résidences somptueuses et palais des grandes familles marchandes, riches et orgueilleuses. Les tous puissants princes de ces grandes familles contrôlent les consortiums commerciaux et fédération du commerce qui dirige le pays. Les gens du peuple ne travaillant pas dans les champs, les oliveraies ou les vignes occupent des emplois dans la marine, la construction navale, la fabrication de voiles ou la vente de biens et de marchandises.

La chasse est un sport populaire, je rencontrais de nombreux malarites et adeptes d’ubtao à travers les ruelles sombres du Tashalar, les chasseurs les plus courageux traquant les créatures mortelles vivant dans les jungles et ramenant leurs trophées en ville. Les habitants du royaume du Tashalar sont obsédés par l'avenir et chaque adulte possède au moins un jeu de cartes ou de plaques qu'il utilise chaque jour pour des divinations personnelles.

Je m’assis sur le tapis richement brodé d’une vieille dame tirant les cartes machinalement. Quand je fut assise, elle commença à mélanger ses cartes puis me demanda de tirer trois cartes et de les poser face contre le sol juste devant moi. Elle me guida au fur et a mesure, je retournais la première carte. INGWAZ ! Cria la vieille, tu es une femme pour qui compte l’accomplissement et la découverte ! Et je lit ici que tu à l’énergie pour entreprendre ce que tu veux. Je lui donnai la seconde carte. OTHALAZ ! Ton héritage est collosal, des centaines d’années se sont mise en commun pour te laisser des richesses, et je lis ici que ces richesses sont en toi ! Je lui tendis alors la troisième et dernière carte. THURISAZ ! Hum.. Tu devras dans l’avenir joué de prudence, tes choix seront très importants, surtout si tu cherches à tout prix la grande récompense. Quelle récompense ? De quoi parle tu la vieille ? Le tapis disparus en un nuage de fumée ainsi que la vieille dame, je me retrouvai seule dans la ruelle alors que le rire caverneux de la diseuse de vérité se répercutait sur les murs.

La ville me parut soudain pleine de danger, je décida que je n’avais que trop longtemps parcouru ses ruelles et après m’être équiper de tout le matériel nécessaire, je m’engouffrai dans la jungle. La jungle de Mhair c’est ainsi que les habitant du Talashar nome cette forêt impénétrable. Dans les recoins les plus isolées de ces vastes jungles peu peuplées, je pu découvrir d’ancien temple, vestiges d'un empire yuan-ti.
Je sauvais une de ces créatures malfaisantes d’une mort certaine, face à un dinosaure de l’ancien temps, en échange elle m’apprit le pouvoir guérisseur de la fleur sanguine, une herbe rare ayant disparu partout ailleurs dans Faerûn.

Je pu également rencontré dans ses jungles des groupes errants de nains sauvages avec qui je pu faire du troc quand mes rations vinrent à manquer. La créature yuan-ti m’avais conseiller d’éviter les jungles noires, repère des plus puissante et sanguinaire tribus. Je contournai donc ces jungles vers les montagnes Hazuk.

Alors que je parcourais le chemin menant à la montagne, je commençais à penser que j’avais été suivie, que l’être qui me suivait n’avait rien de commun. Sentant qu’une créature magique me surveillais je décida de m’arrêter pour la nuit et sur mes gardes, de voir ce qui allais se passer. À mon réveil deux dragonnet Noir étaient perché sur un arbre de la canopée, juste au dessus de ma tête, et m’observais de leurs yeux rouges si semblable aux miens. N’aie pas peur, petite, nous ne te voulons aucun mal.

Dit le premier, et le second de répondre. Nous avons veillé sur ton sommeil. Ils s’envolèrent autour de moi, j’étais fascinée, l’un d’eux alla me chercher un fruit et le laissa tomber devant moi. Je croyais que les dragons noirs ne se montraient jamais… Aux hommes non. Mais toi tu n’es encore presque qu’une enfant, tu sort à peine de chez toi tu a tout à apprendre. Ils me regardèrent alors droit dans les yeux et me demandèrent, Comment t’appelle tu et que fait tu ici ? Je me nôme Lhoergnarbeth, je ne suis qu’une simple barde… Ils se regardèrent et je crus entrevoir sur leurs têtes reptiliennes une sorte de sourire mauvais.

Tu commence par mentir petite, la personne chez qui nous allons t’emmener t’appréciera je peux te l’assurer. Ils me recommandèrent de laisser mon épée bâtarde, je la cachais donc dans les feuilles d’une immense plante grimpante. Les deux dragonnets que je ne soupçonnais pas d’être aussi fort me transportèrent alors dans les airs, m’accrochant de leurs griffes je m’efforçais de ne pas gémir de douleur. Ils m’emmenèrent droit vers le sommet d’une imposante montagne noirâtre au relent d’acide particulièrement odorant.

Une impression étrange de déjà vu m’imprégna soudain, alors que les dragonnets me portaient. A travers la montagne ils gagnèrent une caverne immense où avait été construit une sorte de labyrinthe. A ce moment l'un d'eux me révéla que cet édifice souterrain avais été construit par des yuan-ti sous l’ancien empire, pour garder leurs maître sous la montagne. Quand je leurs demandais qui était leur maître ils se contentèrent de se même sourire malsain que j’avais déjà pu apercevoir. Au fond du labyrinthe je le savais déjà, nous sommes passé par un passage secret, pour nous retrouver né à né avec un gigantesque dragon noir Adulte assis sur une véritable montagne de piece d’or de rubis et d’objet de luxe.

Sa seule présence faisait naître en moi des sentiments contradictoires de fascination et de terreur mélangée. Je comprenais maintenant qu’on donne parfois aux dragons noirs le sobriquet de « dragon à tête de mort ». Mais pas seulement son crâne, sa peau semblait détériorée déchiquetée et malsaine, ses cornes longues et puissante semblais torturée et parcourue de fracture. Ses écailles étaient verdâtre si bien que j’aurais juré que si le dragon se serait trouvé dans un marécage jamais je n’aurais pu le distingué de la vase grouillante du marais. Il s’adressa à moi dans une langue que je n’avais encore jamais entendu mais chose étrange et à mon grand étonnement je le comprit et lui répondit.

Je comprend pourquoi on t’à mener à moi, tu es une éveillé, si tu m’aide à me sortir de cette montagne je te récompenserais dans ta quête, si tu refuse tu sera plongée nue dans l’acide et renvoyée au talashar pendue par les pieds. Pétrifiée d’horreur je m’empressais de lui répondre par l’affirmative ajoutant que je serais heureuse d’en apprendre davantage. Je me mit donc rapidement à l’ouvrage. Mes pouvoirs de barde furent à l’épreuve, je me mit en quête d’un groupe de nain sauvage des montagnes. Leurs promettant richesses au bout du labyrinthe, ils me suivirent bien vite et je les enmenais vers le dragon noir.

Celui-ci les éffraya tellement qu’il m’a suffit de leurs promettre que s’ils travaillais la pierre dans le fond de la caverne ils les laisserais partir une fois qu’il serait libre. Pendant une année je fit travailler les nains dans la caverne du dragon noir, lui ramenant souvent d’autre esclave si bien que presque cinq cent barbe travaillais sous mes coups de fouet que je dispensais. Le dragon lui aussi participais a la terreur ambiante si bien qu’aucun nain ne fit jamais une seule tentative pour s’évader. Un jour la lumière entra dans la caverne et les nains poussèrent une clameur qui résonna dans tout le labyrinthe, ils s’activêrent alors encore plus vite, sur que lorsqu’ils aurait creusé un passage suffisant pour libérer le dragon noir ils serait enfin libre.

1386 Année des esclaves, Quand le passage fut creusé, le dragon déversa des jet d’acide brulant sur les barbes, traquant tout ceux qui s’enfuit dans la jungle et dans les marais, et quand ils les eu tous achevé il se tourna vers moi.

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III : La récompense.

Tu m’as servi fidèlement et à présent je suis libre, n’attend cependant pas que je te remercie et estime toi heureuse que je m’en aille sans prendre ta misérable vie. Je le regarda déployé ses ailes, flanqués des deux dragonnets, et quand il prit son élan pour s’envoler, un manuscrit tomba de ses écailles juste devant moi.

Il avait déjà prit de l’altitude quand un des dragonnets se tourna vers moi et sembla me faire un clin d’œil. Tu l’as bien méritée. Je serra le manuscrit dans ma main tout en fixant les dragons disparaître à l’horizon. Je regardai alors autour de moi, la montagne noire, la jungle, les marais, les cadavres des barbes.
J’ouvris fébrilement le manuscrit, il était écrit dans la langue des dragons, que je pouvais parler mais pas encore lire. Ma déception fut de courte durée car je décidai de faire traduire ce manuscrit. Je quittais talashar en bateau, vers le nord.

Le long de la côte nord de la Mer étincelante sur plus de huit cents kilomètres nous avons longé le Calimshan, au paysage si semblable à chez moi à ce que j’ai pu voir du bateau, chaud, humide et verdoyant. Nous accostâmes dans le port de Almraiven. J’ai entendu dire qu’à côté du tourbillon d'activité des guildes et des marchands, les magiciens et les ensorceleurs connaissent Almraiven en tant que premier centre d'études magiques de Calimshan. Je descendis du pont, confiante de trouver ici quelqu’un pour me traduire le manuscrit.

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Spoiler:

Les Dragons noirs chromatiques :

Les espèces connues de dragons véritables se décomposent en deux familles : les dragons chromatiques et les dragons métalliques. La première comprend les dragons blancs, bleus, noirs, rouges et verts, malfaisants et extrêmement féroces.

Quant à la seconde, elle regroupe les dragons d’airain, d’argent, de bronze, de cuivre et d’or, bienfaisants, le plus souvent nobles de cœur et respectés par les sages.

Tous les dragons deviennent de plus en plus puissants avec l’âge. Leur taille peut aller de quelques dizaines de centimètres à la naissance à plus de 30 mètres quand ils atteignent le statut de grand dracosire.

Leur taille exacte dépend de leur espèce et de leur âge.

Leur métabolisme fonctionne comme un haut-fourneau d’une efficacité incroyable et parvient même à assimiler les matières non organiques. Certains dragons prennent d’ailleurs goût à ces nourritures « exotiques ».

Même si les objectifs et les idéaux de chaque dragon varient en fonction de son caractère et de son espèce, tous sont attirés par les richesses, à tel point qu’ils cherchent à amasser autant de pièces, de joyaux et d’objets magiques que possible.

Ceux qui ont réuni un trésor fabuleux rechignent à s’en éloigner trop longtemps, et ne sortent que quand la faim les tiraille ou pour patrouiller dans les environs et s’assurer que personne ne vient les dévaliser. Aucun dragon n’a jamais de trésor assez gros. Ils ne cessent de contempler leurs possessions et raffolent de leur éclat, qui les attire davantage que la lumière du soleil.

Bien souvent, ils construisent un nid de pièces et d’objets précieux, dans lequel leur corps sculpte peu à peu son empreinte. Sur les grands dracosires, des centaines de pièces et de pierres précieuses ont eu le temps de s’incruster entre leurs écailles. Elles font désormais partie intégrante de leur peau ; le seul moyen de les extraire est l’incision. Tous les dragons parlent le draconien.

Citation :: Catégorie d’âge des dragons
Catégorie Âge (années)
1 Dragonnet 0-5
2 Très jeune 6-15
3 Jeune 16-25
4 Adolescent 26-50
5 Jeune adulte 51-100
6 Adulte 101-200
7 Âge mûr 201-400
8 Vieux 401-800
9 Très vieux 601-800
10 Vénérable 801-1 000
11 Dracosire 1 001-1 200
12 Grand dracosire 1 201 et plus

Les dragons attaquent à l’aide de leur morsure et de leurs pattes griffues. Ils peuvent également utiliser leur souffle et gagnent de nouvelles attaques physiques selon leur taille. Si possible, ils combattent en vol, affaiblissant leurs ennemis de loin avant de venir se poser pour les achever.

Les dragons expérimentés sont souvent capables d’évaluer les forces et faiblesses de l’adversaire en quelques instants. Dans ce cas, ils se débarrassent en priorité des ennemis les plus dangereux.

Tout dragon au moins jeune adulte peut terrifier ses adversaires par sa seule présence. Ce pouvoir fait automatiquement effet dès que le dragon attaque, charge ou survole les créatures.

Grâce à la puissance de leurs ailes, les dragons chromatiques et métalliques peuvent couvrir rapidement de grandes distances. La vitesse d’un dragon sur longue distance dépend de sa vitesse tactique de vol. Les dragons se fatiguent moins rapidement que les autres créatures sur longue distance.

La peau de dragon :
Les forgerons spécialisés dans la fabrication d’armures peuvent utiliser la peau de dragon pour produire des armures ou des boucliers de maître.

Le dragon noir a tendance à prendre ses proies par surprise en se fondant dans le paysage. Dans les marais où la végétation est particulièrement dense, il préfère rester au sol ou dans l’eau, car les frondaisons limitent ses mouvements aériens. S’il se sent battu, il s’enfuit à tire d’ailes puis plonge se cacher dans les marécages ou au fond d’un plan d’eau suffisamment profond pour l’accueillir.

Souffle. : Le dragon noir ne dispose que d’un seul souffle : une ligne d’acide.

Respiration aquatique : Le dragon noir peut rester sous l’eau indéfiniment. Il a même la possibilité d’utiliser son souffle, ses sorts et ses pouvoirs spéciaux en restant totalement immergé.

Corruption de l’eau : Une fois par jour, le dragon noir peut faire croupir jusqu’à 0,3 m3 d’eau, qui devient impropre à la consommation et à la vie aquatique. Ce pouvoir affecte également les liquides contenant de l’eau. Les objets magiques (tels que les potions) et les liquides en possession de quelqu’un résistent s’ils réussissent un jet de Volonté (DD égal à celui qui accompagne le pouvoir de présence terrifiante du dragon). Ce pouvoir est équivalent à un sort du 1er niveau. Sa portée est identique à celle de la présence terrifiante du dragon.

Charme-reptiles . Ce pouvoir est utilisable 3 fois par jour. Il fonctionne comme charme de groupe, sauf qu’il n’affecte que les animaux reptiliens. Le dragon peut communiquer avec tous les reptiles qu’il a charmés, comme s’il bénéficiait de l’effet du sort communication avec les animaux. Ce pouvoir est équivalent à un sort du 1er niveau.

Ténèbres
(adolescent ou plus âgé ; 3 mètres de rayon par catégorie d’âge)
fléau d’insectes
(vénérable ou plus âgé) 3 fois par jour ;
croissance végétale
(vieux ou plus âgé) 1 fois par jour.

Particuliarités raciales des Dragon noir chromatique
Environnement : marécages chauds
Organication social : dragonnet, très jeune, jeune, adolescent et jeune adulte : solitaire ou couvée (2-5) ; adulte, âge mûr, vieux, très vieux, vénérable, dracosire ou grand dracosire : solitaire, paire ou famille (1-2 et 2-5 petits)

On lui donne parfois le sobriquet de « dragon à tête de mort », en raison de visage squelettique. Cette impression est renforcée par la détérioration graduelle de sa peau au niveau des joues et des cornes. Ce phénomène s’accentue avec l’âge, mais ne fait aucun mal au dragon. À la naissance, ses écailles sont petites, minces et brillantes. Au fil des années, elles grandissent, épaississent et ternissent, ce qui lui permet de se camoufler avec davantage d’efficacité dans les marais.

Il apprécie tout particulièrement les pièces. À partir d’un certain âge, il n’hésite pas à capturer les humanoïdes et à les interroger au sujet des réserves d’or, d’argent ou de platine dont ils pourraient avoir connaissance. Il se débarrasse bien évidemment d’eux une fois qu’il a obtenu les renseignements.

Quand ce fut fait, et que j’eu tué le scribe qui avait eu le manuscrit en main. Je me mis à lire, cherchant la façon d’accroître ma puissance. Je comparais aussi les mots draconiens pour apprendre à lire la langue, et utiliser par la même occasion les parchemins magiques des mages et des ensorceleurs. Je me rendit alors plus au nord dans le Thétir et le pays d'Amn pour découvrir de nouvelles légendes, conte et histoires conçernant les dragons. J'aime utiliser mes talents bardiques pour manipuler les autres et prendre les informations qu'ils me donnent "de leur plein gré".

Je traversa la côte des épées et ma musculature devint plus imposante, un jours je nota une métamorphose physique assez violente et douloureuse, comme si j'était en train de vivre une deuxième adolescence. Je sentait depuis quelques temps mon organisme draconique se reveilé, j'ai lu que les dragons avaient tous une glande draco-endocrinienne fondamentale dans les poumons et fait augmenter la taille de ces derniers dans la cage thoracique. Mon haleine prit peu à peu une odeur acide, et un jour je vomit sur uen table d'auberge dans un village du sud d'eauprofonde. L'acide contenu dans mes poumons se répendit sur la table et commença a ronger le bois comme le sol en dessous, l'aubergiste me fit sortir et les gardes me pourchassèrent. Depuis cet évenement je peux parfois cracher de l'acide, de plus en plus loin et vite, sur mes ennemis.

1395 Année de la Main Noire , j'entendit alors une rumeur interessante, une histoire incroyable. Voici plusieurs siècles, des milliers de guerriers humains, nains et elfes tombèrent dans le marais des mort au nord d'eauprofonde, victimes d'une armée d'orques en campagne. En raison de la présence de brutaciens, de sivs, d'hommes-lézards et des dragons noirs jumeaux Voaraghamanthar et Waervaerendor, le marais est devenu un endroit terrifiant. Des groupes d'aventuriers continuent cependant de s'y rendre, attirés par les légendes de trésors enfouis dans des forteresses à demi-submergées. Ils en ressortent sensiblement moins nombreux. Je partit donc pour ce marais des morts sur que je pourrais continuer là bas l'accomplissement de ma quête de savoir.

[Barde/guerrier/DDNoir][D-O] Lhoergnarbeth Ungajarnjamaraisdudiabl

IV : Le Rituel Des Serpents

Le marais des morts ne recelaient nul secrets notable concernant les dragons, je me sentais cependant comme chez moi, comme à chult, comme au sud de faerun. Je décidai de m’arrêter quelques temps et de profiter du climat. Il y a tant de pouvoirs des dragons que je ne connais pas, et même ceux que je connais il me faut encore apprendre à les maîtriser.

Je profitais de mon repos pour étudier et disséquer les cadavres des reptiles peuplants le marais. Tous les reptiles, ainsi que les dragons, sont vertébrés, ils marchent sur quatre pattes et l'embryon, protégé par un œuf à coquille dure, se développent en milieu aqueux.

Certaines caractéristiques se retrouvent chez tous les reptiles. De nombreux reptiles muent et leur peau n’est pas « recyclée ». Cette caractéristique n'est presque plus visible pour les tortues et les crocodiles. Sauf exception, ils conservent une peau recouverte d'écailles. Presque tous les reptiles pondent des œufs, mais certains sont vivipares ou ovovivipares.

À l'exception des crocodiles, les reptiles présentent un cœur dont les deux ventricules ne sont pas complètement séparés. Toutefois, même avec un ventricule non divisé, le mélange de sang artériel et veineux est minime. Les tortues, elles, possèdent deux oreillettes et un seul ventricule. Les comportements protecteurs parentaux sont particulièrement développés chez certains serpents ainsi que chez les crocodiles et complètement absents chez d'autres espèces comme les tortues marines ou la plupart des lézards.

Il existe un pouvoir ancien que les dragons possèdent tous, le pouvoir de charmer les reptiles. Les dragons sont membres d'une race très ancienne de reptiles ailés, peut être que depuis toujours se sont il sentit les maîtres de la race entières des créatures à écailles ? Comment le savoir, toutefois je décidais de m’exercer à maîtriser ce pouvoir d’ascendance sur les reptiles. Je commença par délimiter un pentacle avec de la craie noire et disposait certains composants profanes aux cinq extrémités de l’étoile. Je rassemblais quelques bûches au centre et les enflamma. Mon imprécation visait à brûler l’essence des composants au centre du feu et d’appeler à moi les serpents et reptiles du marais.

[Barde/guerrier/DDNoir][D-O] Lhoergnarbeth Dragonnoir11

Je fis usage d’un masque de serpent, comme médiateurs démoniques, ainsi qu’une poupées katcina que j’avais emporté avec moi de chult. Je pratiquai alors la danse des serpents. Ma danse, était à l’image du serpent. Le serpent, en effet, est comme l’éclair, zigzaguant, il est l’éclair, et manipuler l’animal dangereux est une manière de maîtriser les forces naturelles dont dépend l’existence même de toutes choses. Ce que m’apprirent les agriculteurs sédentaires de la péninsule de chult. En obligeant le serpent à participer à la cérémonie, sans le sacrifier, en surmontant la peur qu’il inspire, on influe sur le cours de la nature, dans un étrange, instable et pourtant efficace mélange de magie rituelle et de finalité profane.

Le serpent, est à la fois un danger et un remède, un démon et messager, un intercesseur, qu’on laisse aller, après la cérémonie, vers les cinq points du pentacle pour que la pluie vienne, avec l’éclair et avec l’éclair l’éveil du pouvoir draconique, la maîtrise et le charme des reptiles...

[Barde/guerrier/DDNoir][D-O] Lhoergnarbeth Jeffeasleyslaveofdragon

V : Les Griffes Des Dragons

Bâtons magique surplombé de boules d'énnergie en crystal enserré dans des griffes de dragons, il est dit que ces artefacts auraient été crée à l’origine par des mages demi dragons. Ses bâtons appelés griffes des dragons sont éparpillés un peu partout sur les terres de la côtes des épées septentrional. Le premier bâton arrivé en ma possession, je l’ai arraché au mains de la sorcière femme requins de la citée aquatique de Biuyja. La griffe de pierre, son pouvoir sur la pierre est incroyable, il est capable de pétrifié quiconque, d’invoquer une brume divine qui emprisonne tout ceux y pénétrant dans la pierre et transformer en pierre la peau de son possesseur. Nul doute que les shahuagin me traquerons pour avoir dérober cet artefact à leur maîtresse, je ne doit donc plus m’approcher des côtes longeant padhiver pour le moment.

À leilon, j’ai entendu une histoire incroyable. Leilon, charmante bourgade du sud de Padhiver, trouva pendant de longues années, fortune dans l’extraction de pierre de construction dans ses carrières toutes proches. Les mineurs travaillant contre salaire oeuvraient avec célérité et joie du travail bien fait. Or un jour, un groupe de mineurs creusant dans les profondeurs d’une galerie, découvrir avec stupeur des ruines de ce qui semblait être un temple, ou en tous les cas, un lieu sacré et très ancien. Persuadés d’avoir dérangé quelques esprits malfaisants, les mineurs décidèrent de se rebeller et de protéger l’accès aux galeries, empêchant ainsi l’extraction de pierre, et par conséquent la ruine de Leilon.

Les mineurs se battaient entre eux ou rejoignaient le groupe rebelle qui petit à petit fut le seul groupe présent dans les carrières. Toute personne s’approchant de trop près était attaqué à vue. Dans le village ont fut troublé par le changement d’attitude de leurs anciens compagnons, parfois des pères, des frères ou des époux…Les prêtres du village déclarèrent zone morte les carrières prétextant la présence d’un esprit rendant fou les gens s’approchant de trop près.

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Or dans les carrières, un nouvel événement vint remettre les rebelles en place. Des créatures venues des tréfonds du sous-sol jaillirent alors et envahir les couloirs étroits, s’attaquant aux mineurs…Repoussés à l’extérieur, les travailleurs furent contraints de s’organiser différemment…Interdits de sortir des carrières, interdit d’y entrer pour rendre leur culte à l’esprit…Ils prirent le parti d’empêcher quiconque d’entrer depuis des passerelles construites à flanc de falaise. A ce jour, les carrières sont toujours protégées par les mineurs, les galeries par un peuple inconnu venu des profondeurs de la terre et diverses autres créatures sûrement maîtrisées par l’esprit fou des cavernes.

Je me rendis donc dans les collines de l’est de leilon cherchant un signe de cette civilisation ancienne. Je me fraya un passage a travers les cariérres jusqu’à une porte fermée à clé que je dû crocheter. L’intérieur était emplit de ténèbres, j’invoqua un sortilège d’invisibilité pour évoluer dans la pénombre que je pouvais grâce à mes pouvoirs draconique discerner comme en plein jours. Les êtres des profondeurs ne remarquèrent pas ma présence et je pu à ma guise chercher le temple de l’histoire. C’était incroyable, la statue ancienne d’un dragon était encastrée dans la pierre et un lieu de culte avait été aménagé pour lui rendre hommage. Je me mit a étudier les runes au sol, écrite en draconique, et pria le dragon nuit en ce temple qu’il me donne puissance et compréhension.

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Cherchant toujours traces des griffes des dragons je cria victoire un peu vite, je découvrit bien un sceptre de pouvoir mais il n’avais vraisemblablement rien a voir avec ce que je cherchais. Ce symbole oubliée du culte rendu en ce lieux, je le garda avec moi, bien que la lumière forte qu’il dégage me gène a plus forte raison dans ses couloirs. Les êtres des profondeurs me localisèrent facilement et je dû m’échapper en toute hâte. En fuyant je n’avais pas réalisé que je m’enfonçais plus profondément dans la mine, un géant gardais un lac souterrain, le contourner fut difficile et je finit par tomber sur une nouvelle porte fermée à clé. Derrière se trouvait un coffre emplis de pierre précieuse, et ô joie un crâne à la puissance magique étonnante ! Cet artefact de nécromancie avait le pouvoir d’invoquer un guerrier mort vivant lorsque on le touchait d’une certaine manière. De retour au village après une attaque de brigand sur le chemin j’essayai de tenir le crâne face à un soldat en faction devant les portes. Une vague d’énergie négative s’échappa de l’artefact pour le toucher de plein fouet. La peur s’empara de lui et il décampa, je ne connais pas encore toute l’étendue des pouvoirs de ce crâne mais une chose est certaine, il m’est très précieux…

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VI : Le mensonge du rouge.

J’ai longtemps parcouru la région de padhiver en quête d’une autre griffe des dragons. Ne pouvant me rendre en cette cité mes ravitaillement en équipement se faisait rare hormis quelques marchands de passage et autre colporteur. De nombreux brigands écument les routes, évitant comme moi les patrouilles des templiers. J’entendis bientôt parler de ce volcan à l’est de padhiver.

La route fut longue, le paysage enchanteur. Des blocs massifs, énormes, ridés, crevassés, qui se dressent comme des tours de cathédrale. La roche est noire, les pinacles aiguisés et la lumière délicate, comme un rêve époustouflant, ici c’est le sauvage dans toute sa beauté et son vide. La falaise était si haute que j’en avais presque peur, quand je levais la tête, elle m’écrasait. Je ne rencontrait personne, ni paysan qui passe, ni mouton, ni chien qui rôde, j’était seule, libre comme dans un désert de roche noir. L’ascension de la falaise fut difficile, et arrivé au sommet, une porte de marbre noir s’ouvrit avec un raclement pour me laisser entrer dans l’antichambre de ce qui semblait être un labyrinthe de lave et de roche. De nombreux élémentaire du feu tentèrent de me barrer le passage, je les envoyai bien vite rejoindre leur élément. Passant d’une poche magmatique a une autre, je m’enfonçais toujours davantage dans les profondeurs du volcan de padhiver, jusqu'à arriver en vue d’un gigantesque dragon rouge, qui irradiait de toute sa puissance dans le fond du volcan. Alors que je m’approchais de lui pour l’observer il me parla.

« Qui ose troubler ma retraite, ne sais tu pas que tu sera bientôt punis pour ta bravoure ou ta stupidité »
« C’est la soif de connaissance et non la promesse de trésor qui m’amène ici seigneur, je me nome Lhoergnaârbeth, disciple du dragon et votre servante seigneur »
« Tu ne trouvera rien ici sinon la mort, retourne d’où tu vient et j’oublierais que tu a jamais existé, minuscule »
« Je recherche des artefact seigneur, les griffes des dragons et… » Mais le rouge n’attendit pas que j’ai terminé.
« RIEN, tu ne trouvera rien en ce lieux sinon ta mort. »

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ce jours là j’ai bien cru, ô puissance que j’avais prononcé mes dernières paroles et que mon corps allais reposer à jamais dans ce volcan. Le rouge me plaqua sur le sol et fit venir ses serviteurs élémentaires, avant que j’aie pu protester il m’assomma d’un coup de griffe puissante. A mon réveil, Je me retrouvai à l’entrée du promontoire, au dessus de la falaise. Une vieille femme s’avança vers moi et me chuchota à l’oreille. « Tu à de la chance d’être encore en vie, il faut de la chance pour assemblé toute les griffes, et plus encore de la ruse pour obtenir ce que tu veux » La vieille disparut dans un nuage de fumée noirâtre, je poussait un cris de rage, persuadé que le roue m’avais mentit je me promis de revenir un jours pour lui dérober sa griffe.

Luskan. Le comptoir commercial du nord. Luskan. Demeure de fiers et belliqueux guerriers du Nord. Luskan le plus grand port de la région, situé à l’embouchure de l’indomptable fleuve mirar. Luskan, ville de pirates où jamais un voyageur avertit ne baisse sa vigilance. Luskan, où les dagues se perdent, les portes qui claquent, les claques qui portent. Les dangers, les périls présents tant le long de la Haute Route côtière que sur la Longue Route du sud depuis Mirabar, obligent le commerce du métal à s'effectuer principalement par voie maritime. Luskan, ce coupe gorge cet entrelacs de ruelle étroite où Les bâtiments sont si serrés les uns contre les autres que certain endroit ne voit jamais la lumière du jours.

La rivière Mirar divise luskan en deux grosses parts. La section septentrionale est une enclave cernée d'une enceinte, comprenant essentiellement des entrepôts. La moitié méridionale est plus ancienne ; et cette partie est hautement fortifiée. Trois ponts relient ces deux parties de la ville : la Croix du port, la Traversée de Dalath, la Traversée d'amont. La Croix du port comprend deux passages qui se croisent au dessus des flots, la Longue et la Courte Traversée, d'où le nom de l'ensemble.

Les parties les plus développées de luskan sont à l'embouchure du fleuve et le quai sud. Cinq îles importantes font face à l'embouchure et les trois plus proches sont habitées et font partie de luskan.

Luskan est l’endroit de rêve pour se fondre dans la foule. Rien n’est plus neutre que luskan mais rien n’est plus dangereux que luskan, toutes les informations du nord se trouve à luskan mais rien n’est plus hermétique et peu bavard que luskan.

Les rumeurs vont vite à luskan, et en quelques jours j’ai pu connaître nombre d’endroit où pourrait se trouver d’autres griffes de dragons. Le château de la comtesse, au nord de la forêt luskanienne fut mon premier choix bien qu’il ne soi pas le seul. Défendu par de nombreux archers, entouré d’un marécage impénétrable et de brume verdâtre, je me sentis de nouveau comme chez moi, à chult ou dans le calimshan ou le tashalar. Il n’y a que les marais où je me sens vraiment bien…

*A placer au chaud au cimetierre des bgs abandonnés* je le continuerais plus tard

» La plume d'une barde
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